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NOUS VOUS INVITONS……

NOUS VOUS INVITONS À VOUS JOINDRE À NOTRE CONVERSATION SUR LE BÉGAIEMENT. NOUS VOUS PROMETTONS DE LIRE CE QUE VOUS ÉCRIREZ. ET POURVU QUE VOUS NOUS EN DONNIEZ, AU PRÉALABLE, LA PERMISSION, NOUS POURRIONS, PARFOIS, PUBLIER CE QUE VOUS ÉCRIREZ.

Le texte qui suit est traduit de celui que Ruth Mead a composé pour la page anglaise :

« C’est par l’écriture spontanée que j’ai pu comprendre mon bégaiement. Des chercheurs ont récemment observé les bénéfices de mettre en mots sur du papier nos « réflexions les plus personnelles »… et, ultimement, de les exprimer à haute voix. Premièrement, l’écriture (sans s’inquiéter du résultat et sans juger le contenu) nous connecte à notre Source. James W. Pennebaker, expert en ce domaine, a répertorié d’autres bénéfices bien réels : la preuve que nous provoquons, par l’écriture spontanée, la création de nouveaux circuits neuronaux. Étonnamment, des bénéfices pour la santé furent également constatés, tout autant que pour l’acuité mentale.

Pennebaker s’est demandé si toute forme d’expression de soi produisait des bénéfices semblables à ceux accompagnant ce genre d’écriture s’écoulant librement. Il testa d’autres formes d’expression (dont le chant et le dessin) pour n’y trouver aucun impact mesurable. Puis il examina le mouvement physique. (Ses expériences étant bien connues, on peut les retrouver facilement en googlant.) Après des années d’expérimentations, il constata qu’aucune autre forme d’expression de soi non verbale ne démontrait de bénéfices semblables. Bien que les danseuses avouent avoir du plaisir à se mouvoir de façon expressive, « seul un groupe dont les membres écrivaient démontrèrent une amélioration de leur santé physique et un pointage dans la moyenne. »

Pennebaker en conclut : « La seule expression d’un traumatisme ne suffit pas. Pour être en meilleure santé, on doit pouvoir traduire notre vécu en langage. » De plus, il observa que l’écriture, lorsqu’elle vise à comprendre et à trouver de nouvelles réponses à nos questions, s’avérait la plus bénéfique. Dans mon cas personnel, plusieurs de ces questions étaient reliées à mon désir de comprendre la nature même de la parole, le problème du bégaiement et pourquoi je me retenais… plutôt que de me considérer comme la victime détenue en otage par d’autres. (Si vous nourrissez d’autres idées aussi saugrenues, soyez certains qu’elles finiront par faire surface grâce à la libre-écriture, en autant que celle-ci soit libre de toute censure et de tout contrôle conscient.) Les bénéfices les plus puissants de l’écriture accompagnent la motivation de comprendre non seulement nos problèmes, mais aussi pour trouver notre place dans ce monde.

Je commençais souvent à écrire en me sentant étouffée et tendue, en ayant l’impression de ne plus jamais pouvoir écrire (ou dire) un autre mot. Mais en refusant de juger et de comparer ce que j’écrivais avec les opinions populaires des Professeurs Je-Sais-Tout, les mots allaient devenir, avant longtemps, authentiques et profonds.

En écrivant spontanément, sans juger ce que vous écrivez ni vous soucier du résultat, vous ferez, à chaque tournant, d’intéressantes découvertes. En écrivant pour comprendre ou pour découvrir, des révélations se manifesteront entre le crayon que vous tenez et le papier sur lequel vous écrivez, (sans même que vous ayez à y réfléchir, sans planifier quoi que ce soit … et sans jamais « éditer » (corriger) votre texte.) Lorsque je laissais mes mots m’entrainer hors de mes sentiers habituels si tel était leur désir, ils m’amenèrent là où j’avais toujours voulu me retrouver. Encore plus important, c’était rafraichissant… comme si je me tenais sur les vagues de vieilles croyances et de mes vieilles perspectives, découvrant de nouveaux horizons, des endroits où je n’avais jamais été auparavant… là où la confusion faisait place à la résolution.

Écrire sur sa vision et ses observations personnelles du bégaiement constitue souvent la toute première action véritablement responsable vers le rétablissement. Et si vous avez besoin d’un coup de main pour entreprendre votre écriture, lisez l’interview que fit John Harrison avec Jack Menear, « Et soudain, le bégaiement disparut » (à la page 333 de Redéfinir le Bégaiement sur la page des traductions françaises).   

CONTACTS :

Richard Parent, sorti du bégaiement, est notre traducteur francophone désigné et vous pouvez le contacter sur Skype (pseudonyme ricardo123 – SVP, mentionner que c’est pour le bégaiement) ou par courriel (richardparent@videotron.ca).

John Harrison, également sorti du bégaiement, est (comme vous le constaterez par l’importance de son livre), un écrivain prolifique et fort habile. L’ouvrage colossal qu’il écrivit afin de partager avec nous tous la manière dont il s’y prit pour sortir du bégaiement, s’intitule REDÉFINIR LE BÉGAIEMENT, LA VRAIE NATURE DU COMBAT POUR S’EXPRIMER et constitue une lecture fort prisée dans la communauté des PQB. Il offre également des séances de coaching et facilite des ateliers d’art oratoire s’adressant à Monsieur et Madame tout le monde et pour les PQB. Son adresse courriel est john@thewriterstouch.com et, si vous baragouiner un peu l’anglais, vous pouvez converser avec lui sur Skype : jcharr1234. Il comprend le français.

Vous pouvez joindre Ruth Mead à ruthymead@gmail.com Ruth est également sortie du bégaiement et est l’auteur de La parole est un fleuve.

Vous désirez parler/échanger avec des personnes en particulier ? Transmettez-nous votre demande à understandingstuttering@gmail.com et nous ferons le nécessaire pour que vous puissiez entrer en communication avec ces personnes.

Enfin, le Dr. Bob Bodenhamer a fondé le groupe Yahoo neurosemanticsofstuttering, probablement le groupe le plus actif composé de personnes désirant comprendre le bégaiement. Bob est également l’auteur de plusieurs livres, le plus populaire étant probablement « I Have A Voice : How to Stop Stuttering » publié par Crown Publishers… et ‘The User’s Manual for the Brain.’ » 

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